Comprendre l’écologie – Deuxième extrait
Comprendre l’écologie – Deuxième extrait

Comprendre l’écologie – Deuxième extrait

Après avoir dénoncé les méfaits, toujours commis au nom du bien, de Soros et de ses ONG, Thibault Kerlirzin nous dévoile en exclusivité les origines mystiques des Agendas 21 et 30, dont le père a aussi été le mentor de celui du Great Reset. Deuxième extrait.

2. Soros est aujourd’hui reconnu comme l’un des artisans principaux du Nouvel Ordre Mondial, il n’en fût pas toujours ainsi avant vos travaux…
Encore disponible chez Culture & Racines, ce classique de 1940 préfacé par Pierre Hillard a été pour la première fois traduit et publié en français en 2017 aux Éditions Rubicon

Je vois George Soros plutôt comme un agent voire un simple exécutant, les véritables Artisans du Nouvel Ordre Mondial se préservant autant de la lumière du jour que les vampires. Et malgré son âge plus avancé que des Gates, Schwab ou Zuckerberg, son utilité leur est comparable quant à la mise en place du Nouvel Ordre Mondial déjà promu par H. G. Wells dans son livre éponyme de 1940. Par ses faits Soros sera évidemment canonisé mais demeure un exécutant comme certains de ses prédécesseurs 6, la plupart passés par la discrète Fabian Society décrite par Guy Boulianne comme « un mouvement radical basé à Londres dans le but de renverser l’ordre existant et d’établir un gouvernement mondial socialiste contrôlé par ses dirigeants et par les intérêts financiers qui leur sont associés ». Pour ce, la Société fabienne préconise gradualisme et furtivité, comme le montre son premier blason où un loup se déguise en agneau.Ainsi, pour citer trois « alphas » de la philanthropie, qu’il s’agisse de George Soros et de son activité tentaculaire, de Bill Gates et son obsession tant pour la vaccination que pour la réduction de la population mondiale, ou de Jeff Bezos qui lance son Bezos Earth Fund face à l’« urgence climatique », ces philanthropes veulent établir le Paradis sur Terre, mais dans le sens de Paradeisos, « enclos pour animaux » en grec.

Or, sans être membre de la Fabian Society, George Soros est néanmoins un cousin fabien. Diplômé de la London School of Economics (LSE), une création de la Société fabienne, toute son action en faveur de l’établissement effectif d’un Nouvel Ordre Mondial sous patronage oligarchique reprend les objectifs et les méthodes de ce think tank : technocratie, abolition de la volonté populaire, manipulation, influence sur les grandes structures internationales, soutien au revenu universel, orchestration de la dilution des identités au travers d’un mélangisme militant, etc.

Cette répartition des tâches entre la Fabienne et Soros s’est par exemple illustrée en 2003 dans l’Initiative pour la Transparence des Industries Extractives (ITIE) créée par Tony Blair, alors Premier Ministre de Grande-Bretagne. Or il faut savoir que l’une des coalitions à l’origine de l’ITIE est « Publiez ce que vous payez » (« Publish What You Pay »), créée en juin 2002 et dont quatre des six organisations de base appartiennent aux réseaux Soros : l’Open Society, OXFAM, Global Witness et Transparency International et que Blair est un ancien membre de la Société fabienne.

Téléchargez ici les 25 articles publiés sur Soros Connection entre décembre 2016 et mai 2017

Soros ne fait donc qu’épouser la tendance fabienne dont il est un exécutant externe. Pour autant, est-il plus efficace qu’un Larry Fink (PDG de BlackRock), Mortimer J. Buckley (CEO de Vanguard) ou d’un Maurice Strong ? À lire les hommages, suite à son décès en 2015, de la part du ​secrétaire général adjoint des Nations Unies et du patron du World Economic Forum affirmant chacun perdre leur mentor, rien n’est moins sûr.

Aujourd’hui, le monde pleure l’un de ses grands hommes. Maurice Strong était un visionnaire et un pionnier du développement durable mondial. […] La feuille de route de la durabilité qui a débuté à Stockholm, s’est poursuivie à Rio, à Johannesburg et à Rio+20, doit maintenant devenir une réalité à Paris. Ce serait en effet l’hommage le plus approprié à l’héritage de Maurice Strong ; leader, mentor et ami. 

Achim Steiner – Le monde pleure l’un de ses grands hommes : Maurice Strong s’éteint, son héritage perdure

Dans tout ce qu’il faisait, il avait profondément compris la mission du World Economic Forum qui consiste à améliorer l’état du monde. C’était un grand visionnaire, dont la pensée était toujours en avance sur notre temps. Il fut mon mentor depuis la création du Forum : un grand ami ; un conseiller indispensable ; et, depuis de nombreuses années, un membre du bureau de notre Fondation. Sans lui, le Forum n’aurait pas obtenu le rôle qu’il tient aujourd’hui.

Klaus Schwab – Maurice Strong: an appreciation

Cette précision étant faite sur la place de Soros sur l’échiquier mondialiste, je peux maintenant vous répondre sur les raisons qui m’ont poussé à m’y intéresser dès 2015. En juin de cette année, alors que je travaillais pour la Fondation Prometheus dont je rédigeais la lettre mensuelle et le Baromètre de transparence des ONG, un article du journal Le Monde rapportait les accusations de l’ONG Global Witness à l’encontre de la France sur un supposé trafic illégal de bois avec la République Démocratique du Congo (RDC). Après quelques recherchesje me suis aperçu que Global Witness était généreusement financée par l’Open Society et administrée par des membres de ses réseaux. Informant un ami de ces découvertes, celui-ci m’apprit qu’il en était de même pour les Révolutions colorées secouant l’Europe depuis l’ex-Yougoslavie.

Ces deux indices conjugués à l’expulsion de la Russie des ONG liées à la Société ouverte, de leur récurrence dans le Baromètre des ONG et l’absence de données francophones face aux activités de Soros m’ont logiquement amené à chercher et rassembler les informations officielles, la plupart anglophones. Qu’il s’agisse de l’orchestration de la crise des migrants, de la déstabilisation de régimes politiques, des innombrables financements de médias et d’ONG, de lobbying institutionnel sur les plus hautes instances européennes ou des attaques contre les monnaies souveraines, ces éléments m’ont permis, avec cet ami, de proposer la première conférence française sur L’Empire Soros en avril 2016. Puis les mois suivants, actualité oblige, cette masse de données a été enrichie, annotée et cartographiée 7 à travers 25 articles publiés sur Soros Connection 8 de fin 2016 à l’élection d’Emmanuel Macron de mai 2017. Articles dont j’ai retrouvé certains morceaux et notes remaniés dans un ouvrage paru à l’Automne 2018 9.

6 – Pour se référer aux généalogies relativement récentes mais ô combien déterminantes pour notre époque, voir les ouvrages Histoire secrète de l’oligarchie anglo-américaine de Carrol Quigley et La Société fabienne – Les maîtres de la subversion démasquée de Guy Boulianne.

7 – Sur les 70 ONG favorisant les flux migratoires près des Balkans, près de la moitié d’entre elles étaient rattachées à l’Open Society.

8 – Le blog Soros Connection n’existant plus, seulement à travers des bribes via la Wayback Machine comme celle-ci datée de juillet 2017, nous avons remis ces 25 articles sous forme de PDF téléchargeables ici.

9 – D’un auteur qui, après m’avoir demandé de collaborer avec lui dans le cadre de reportages, a soudainement disparu après lui avoir transmis ma méthodologie de recherches ainsi que des notes que j’ai retrouvées un an et demi plus tard à la parution de son livre sur Soros.

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