Comprendre l’écologie – Bonus
Comprendre l’écologie – Bonus

Comprendre l’écologie – Bonus

Après avoir dénoncé les méfaits, toujours commis au nom du bien, de Soros et de ses ONG, Thibault Kerlirzin nous dévoile en exclusivité les origines mystiques des agendas 21 et 2030, dont le père a aussi été le mentor de celui du Great Reset. Bonus.

7. Bonus : Dark winter is coming

Comme son nom l’indique, il s’agit d’un hiver sombre où pénuries alimentaires, émeutes, famine et guerre civile se succèderaient pour, une fois révolu, laisser place à la renaissance (Penser Printemps) et remplacer le vieil ordre par le neuf, tant attendu à en croire les adages maçonnique Ordo ab chao ou hollywoodien Winter is coming.

Enfin, et sans doute surtout, parce que son scénario renvoie très précisément à ce que notre planète va bientôt vivre : une sorte de nouveau Moyen-Age, plein de violences, de désordres, de catastrophes naturelles, de seigneurs de la guerre, de querelles de pouvoir aux rebondissements très rapides. Game of Thrones décrit le monde qui s’annonce après la fin de l’Empire américain, un nouveau Moyen Age flamboyant où aucun pouvoir n’est stable, où tout devient possible.

Jacques Attali – Un planétaire Moyen-Age (7 avril 2014)

Loin du discours tenu par Ursula von der Leyen le 26 janvier 2021 à Davos (i. e.grosso modo, l’European Green Deal) il faut comprendre que ce remodelage du monde, littéralement Build Back Better, implique une fin de l’ancien, une réinitialisation institutionnelle, démographique et spirituelle. D’ailleurs, à la lumière de l’autobiographie du mystique Maurice Strong, le « mentor » de Klaus Schwab, le Dark Winter est un des dispositifs du Great Reset. En effet, dès son premier chapitre Strong se livrait entre vœux et prospective pour janvier 2031 :

À la fin du XXe siècle, l’accroissement exponentiel de la population humaine était perçu comme le plus grand problème de l’humanité, « l’Ur-problem » [le problème initial] au fondement de tous les autres. Pourtant désormais la croissance démographique a cessé ; les niveaux de population chutent précipitamment presque partout, et certaines zones de notre planète ont été presque entièrement dépeuplées. Davantage de personnes meurent, et meurent plus jeunes – les taux de naissance ont chuté drastiquement tandis que la mortalité infantile s’accroît. À la fin de la décennie, les meilleures approximations évaluent la population mondiale totale à 4,5 milliards, un peu moins qu’au début du siècle. Et les experts ont prédit que la réduction de la population humaine pourrait bien continuer au point que ceux qui survivent ne pourraient pas se compter à plus du 1,61 milliard de personnes qui peuplaient la Terre au début du XXe siècle. Une conséquence, oui, de la mort et de la destruction – mais en fin de compte une lueur d’espoir pour l’avenir de notre espèce et son potentiel de régénération.

Maurice Strong – Where on Earth Are We Going?

Rappelons au passage que le World Economic Forum est enregistré comme ONG (entité de catégorie III) au sein du registre de transparence de la Commission européenne27, lui conférant un poids supplémentaire pour s’ingérer dans nos vies. De manière aussi explicite que concrète, le Great Reset c’est, sur le plan :

  • institutionnel, une « nouvelle normalité » et une « nouvelle réalité » dixit Lucien Cerise, c’est un monde technocratique où prétextes sanitaire et climatique se succèderont jusqu’à 2030 année où, comme le World Economic Forum l’annonce depuis 2016,« vous ne posséderez rien et serez heureux ».
  • démographique, le retour à 1900 ; les cénacles environnementaliste et globaliste partagent en effet cette même préoccupation : de Paul Ehrlich (le modèle de l’ONG Les Amis de la Terre) au rapport d’Henry Kissinger de 1974 (et déclassifié en 1989) intitulé National Security Study Memorandum 200 (NSSM-200) : Implications of Worldwide Population Growth for U.S. Security and Overseas Interests, revenons à 1,61 milliard d’êtres humains.
  • idéologique, de l’Intelligence Artificielle au transhumanisme en passant par le crédit social, c’est le Man-Machine Project, premier nom des conférences de la famille Macy lié aux Rockefeller menant d’une part au projet cybernétique décrit par Lucien Cerise, mêlé à un Gaïanisme planétaire à la Maurice Strong.

Pour parvenir à ce Great Reset, l’élite prépare les esprits avec des « exercices » en guise de bandes-annonces. Ainsi, si l’Event 201 anticipait en octobre 2019 la prochaine pandémie, le Cyber Polygone a, en juillet 2021, communiqué sur une cyberattaque imminente qui entraînerait le black-out. Après le temps du virus humain et des thérapies expérimentales28 appelées vaccins par les médias vient, puisqu’ils le martèlent, celui du virus machine, des dysfonctionnements et des pénuries.

En conclusion, le « Club des cinq » (Bono, Gates, Rockefeller, Soros) que j’ai évoqués sont tous amis avec Schwab et participent, selon « leurs grades et qualités », à la réalisation de ce Great Reset. S’agissant de cette philanthropie, pour reprendre le sous-titre de mon dernier livre, elle est la plupart du temps équipée d’un double-fond. Car si cette élite trompe les masses, elle ne leur ment pas et œuvre en effet pour la planète, sa faune et sa flore. Quant à son humanité, trop nombreuse selon l’élite, elle constitue une menace pour la planète. Articulées, ces deux propositions indiquent la « solution » sans appel : réduire l’humanité pour sauver la planète.

27 – Cf. https://ec.europa.eu/transparencyregister/public/consultation/displaylobbyist.do?id=567538843366-43

28 – Pour de l’information alternative quant à la COVID, abonnez-vous au fil Telegram de Silvano TrottaMomotchi et COVID-1984 (à qui l’on doit l’information et la capture quant aux 666,6 millions de dollars versés par la Fondation Gates à l’OMS) et consultez le site France Soir.

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