George Soros n’est bien évidemment pas Sauron et son œil qui voit tout. Des hommes-clés de l’Open Society et au pedigree solide s’investissent au travers des sorosites comme chez ONE. Morton H. Halperin fait partie de ceux-là. Portrait, histoire d’être moins dupe qu’un « jeune ambassadeur » de l’ONG.
Les ONG en général et les réseaux Soros en particulier pratiquent un soft power puissant et efficace. On peut y trouver un grand nombre de raisons ou de justifications : incapacité des Etats à assurer une mission qui échoit dès lors aux initiatives privées, efficacité des moyens de communication, meilleure adaptation aux situations diverses. Mais le facteur principal reste l’aura dont jouissent les ONG, perçues et auto-proclamées représentantes de la « société civile ». Dans notre article précédent, nous rapportions l’action des « jeunes ambassadeurs » de ONE, sorte de militants « young leaders » de l’ONG, et leur succès auprès des candidats à la présidentielle française de 2017 mais aussi à l’égard du pouvoir législatif. Peut-on pour autant dire que c’est une victoire de la « société civile » ? A vrai dire, une simple étude des profils des membres-clés de ONE souligne le contraire. Notre site étant dédié à Soros, on s’arrêtera ici sur Morton H. Halperin, qui synthétise à lui seul ce « conflit d’intérêts » entre l’O « N » G et le gouvernement américain, et expose le genre de profils d’agent de renseignement qu’on peut trouver au sein de l’Open Society.
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